Tentez de gagner 1 million de dollars avec l’ARC Prize, en apportant une solution open source qui apporte une solution au benchmark ARC-AGI. On parle aussi d’Elon Musk, de Julian Assange, de retour au travail en présentiel ou même de nouveaux formats de RAM.
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Contingences
- X va bien devenir une banque. D’ailleurs elle fait déjà tout payer.
- Fallait oser, Starlink pourrait nous pourrir la couche d’ozone.
- Ciseau Fisker : après les coupes budgétaires, on coupe les vivres.
- Infidell : revenir au bureau ? Jamais !
- Chat Control : bon ou mauvais Signal ?
- Julien Assange est libre.
- Spatial Combat : Meta et Apple prépare le 2eme round.
- LuNatick : les serveurs sous-marins sont un franc succès, et Microsoft on s’en fout.
- La DDR5 remet les pendules à l’heure.
- En Chine, légère augmentation du SMIC.
- Livin’ la Nivida loca ! He’s livin’ la Nvidia loca !
Transcendance
- Les IA ont déjà atteint la TRANSCENDANCE (Pourquoi la foule chante toujours juste)
- Mais pas partout, même avec de la force brute.
- Pour les rats, c’est pas loin.
- Le Platon, c’est bon : les modèles vont-ils sortir de leur cavernes ?
- La colère est mauvaise conseillère, et elle est surtout mauvaise pour les conseillers.
- Ruminations : le long chemin du steak sans bœuf et du lait sans vache.
Participants
- Une émission préparée par Guillaume Poggiaspalla
- Présenté par Guillaume Vendé
Pour l’histoire de softbank et de cette IA modératrice, je trouve que l’idée est bonne : j’ai été chargé de clientèle, et des fois d’avoir des clients très en colère (colis retard/perdu à proximité de noël, ou caméra à proximité d’un mariage..) et dans ces cas là on se repassait le client en mode « je vais vous passer mon manager », déjà à l’époque ce changement d’interlocuteur (qui n’etait bien sur pas notre manager) changeait totalement le ton du client(e) mécontent(e) rendant la résolution du dossier bien plus agréable
Je vois donc l’idée, après, on pourrait plutot, selon moi, avoir en premier contact, cette IA qui viendrait prendre la charge en pleine poire, et devant l’incapacité de répondre proposerait de mettre en relation avec son manager qui serait notre actuel téléconseiller(e), bonne idée non ?
Ainsi pas besoni de « filtrer » le ton, mais plutot d’avoir un bouclier-téléconseiller-IA qui viendrait absorber la charge et ainsi attenuer/rendre plus agréable la résolution du conflit
Est-ce que d’avoir l’IA en frontal ne reviendrait pas à avoir un serveur vocal (certes un peu évolué) qui se ferait au final difficilement passer par un humain pour comprendre le problème et au final engendrerait encore plus de frustration ?
Tout est une question de qualité de ce bot en effet
Après, un peu comme les « filtres entonnoir » ( où l’on appuie sur 2,3,5 en fonction du topic de l’appel: retard de commande, retour colis..) ça agirait comme un premier sas qui permet non seulement de qualifier l’appel, mais aussi dans une certaine mesure de freiner/faire respirer l’interlocuteur/trice
On le voit actuellement également avec les chatbots, ça permet de répondre à certaines questions « toute bete » qui peut etre répondu par un automate
De plus, en indiquant à l’appelant(e) que c’est un automate qui répond, comme un chatbot, il pourrait comprendre que la personne à un ton inadapté (insultes/très enervé..) et faire le travail d’appaiser si la personne souhaite etre transféré à un humain..
De plus, l’idée du convertisseur est mauvaise pour moi, car lors de ces échanges téléphoniques, même si ce n’est pas agréable, on entend la colère/détresse au bout du fil et on adapter ses mots en conséquence. Avec un filtre on répondrait « comme un automate » sans anpathie, risquant d’envenimer la situation…
Intéressant le sujet sur la viande artificielle, mais en effet il faudrait différencier la production de masse détestable (elevage en batterie, ferme des 1000 vaches..) des exploitations plus « traditionnelles » en général avec label, et/ou bio qui proposent la vente de la viande et/ou sous productions (lait/miel) dont les animaux sont bien/mieux traités.
Et surtout dont l’exploitation depuis des siècles participe à un paysage culturel (qui n’apprécie pas de voir des vaches/chèvres broutant l’herbe)..
De plus, cette possibilité de produire synthétiquement pourrait être exploitée pour d’autres besoins comme notre exploitation spatiale, ou travail en condition extrême/restrictive (où on ne peut pas amener beaucoup de nourriture et encore moins « produire » celle-ci sur place… )
Oui ! Sincèrement plus ce sujet avance (certes ça va pas vite) plus je suis convaincu du bien fondé ! Mais tu as raison, une agriculture raisonnée est aussi plutôt viable et plutôt accessible à court terme. Préparons l’après !