Les dernières avancées en matière de modèles de langage et d’intelligences artificielles, modèles de génération vidéo, les nouvelles méthodes de traitement d’images, et essor des assistants virtuels.
Les sujets de l’épisode
Idéalisme
- Omniinsert, Lynx, Kling et Wan 2.5.
- Et aussi la 3D to video.
- SRPO et Hunyuan 3.0, ça va être compliqué pour certains.
- Meta et IA en roue libre, ça pulse pour GPT.
- CWM le modèle de code qui casse les codes.
- Le langage de programmation le plus utilisé ? Claude Code.
- Du Claude, et beaucoup trop de Qwen…
- On parle pas assez de l’Antéchrist en Tech.
Matérialisme
- Microsoft veut être les IA les plus water cools.
- Enfant du soleil, tu parcours la terre le ciel…
- Snapdragon Summit : le retour des PC Android ?
- Des lunettes autofocus… pour nous, les vieux.
- Des télécommandes avec des numéros pour pas perturber papy.
- Une triomphale histoire d’échec.
Participants
- Une émission préparée par Guillaume Poggiaspalla
- Présenté par Guillaume Vendé
Attention, à propos de votre discussino sur le TOP 3 des languages et le fait qu »avec l’avènement des IA au final peut etre la « mort » des languages vu que l’IA pourrait directement « pondre » le code « machine » directement interpreté
1. dans le monde professionnel: personne ne laisse/laissera le/les IA produire les applications de A-Z
il y a et y aura toujours un(e) développeur(se) dans l’histoire qui va plus ou moins faire appel à l’IA mais au final c’est lui/elle et son équipe qui produit/soumet la release qui part en production et qui engage sa responsabilité (et qui sera appelé dasn le cas des applications 24/7
2. c est pas vrai de dire que tous les languages se valent au final elles produisent/peuvent faire la meme chose..
je suis désolé,mais en python oui on peut faire des script, des jeux, des applications lourdes..
mais on peut pas faire une SPA: (single page application, comme votre gmail) car ça c est pas l’ordinateur qui interprète mais le navigateur
De plus on a deja des catégories de langages: c/c++/go/rust => compile (super rapide)
java/dotnet « produis » bytecode pour une vm (moins rapide)
python/php/perl.. interpreté* (le plus lent)
Certains lanages se valent dans la production finale: un .exe/executable ou autre pour une application lourde/batch.. mais d autres sont créé pour etre lu/interpreté par autre chose comme le javascript par le navigateur
d’ailleurs pour rappel: typescript produit au final du javascript
3. dans le monde pro, en fonction du budget on peut avoir également des équipes qui se sécurisent: une équipe fait le develpppement de l’application, une autre (souvent appelée testeur/QA and co) vont produire du code qui vérifie le comportement de l’application (unit test, test d integration**..)
Et pour ça faut ecrire, on va pas demander à une IA d ecrire l’app et à la meme IA d efaire les tests
auquel cas si en production ça ne fonctionne pas on fait quoi ? « oui mais l’ia B qui a vérifier l’application produite par l’IA A avait dit que tout fonctionnait ?? » ce n’est pas sérieux
*oui je sais qu’en python il existe un tool pour produire un executable, je parle de manière générale
**si peu de budget, le dev va ajouter /coder ses propres tests unitaires comme préco en clean code/archi hexagonale, ou imposé comme en TDD (Test Driven Development: programmation guidé par les tests)
Hello Mika et merci pour ton écoute toujours régulière et surtout pour ce commentaire.
Bien évidemment, tu as totalement raison : les langages ont tous leur particularité/avantages/inconvénients selon les situations. En gros, la chronique visait à projeter une vision de l’avenir (très extrême bien sûr) qui consisterait à dire que le langage ne serait pas trop un sujet, car on confierait (encore une fois, c’est une pure spéculation et projection) tout développement à des intelligences artificielles qui elles, feraient ce qu’elles « veulent »…
L’idée n’est pas du tout de prendre cette affirmation au pied de la lettre et tu fais bien de rappeler cette réalité dans ton commentaire.
Pour l’histoire du vidéodisc, si on parle bien de la même chose, j’avais un ami qui en avait acheté un a l’époque, il avait en effet de gros gros disque recto-verso, et en effet, fallait le retourne ( la galère).
Mais lui y avait pas de mange dique, de mémoire c état un grand tiroir comme un lecteur dvd, mais très grand.. c’était avant l’arrivée des DVD en tout cas
Sinon en parlant de boitier comme les minidisc, avec le recul je trouve toujours dommage qu’on ai pas réussi à démoractiser les « disquette zip iomega », c était pour moi le meilleur des deux mondes: un boitier plastique pour protéger et une capacité importante 200-500 mo
J’ai connu ça à l’époque où je travaillais dans une imprimerie, utilisé par les graphistes sur mac avec un lecteur externe branché en firewire (power G3 ou G4 de mémoire ), très pratique